lundi 5 avril 2010

journal de guerre de marc lemaire

Marc Lemaire Ecolo marc.lemaire@groupeone.be

Je peux vous certifier à 100% sans me tromper avec preuves à l’appui, que vous appartenez à la race des politiciens démagogues qui n’ont rien réussi dans le privé, ont trouvé une activité qui ne requiert aucune compétence, avec hypocrisie et lâcheté, peut rapporter gros, les exemples par dizaines ne manquent pas.
Votre blog « journal de guerre de Marc Lemaire », vous met à l’abri lors des prochaines élections, vu les diatribes sanguinaires antisionistes (antisémites) qui paraissent dans votre blog, sans réserve et sans vérification de leur véracité ne fut ce que partielle !! vous attire la sympathie de l’électorat musulman.
L’« antisionisme » n’est qu’un masque d’imposture posé sur le visage de ceux qui veulent tenter de cacher des sentiments qui, sans cela, leur sembleraient inavouables : et ceux qui ne peuvent se retenir de cracher sur l’État démocratique du peuple juif, et le traitent comme on traitait les juifs en Europe en 1942, se taisent, de manière significative, sur l’indignité des tyrannies du monde musulman.
Il existe encore aujourd’hui un terreau fertile de matrice chrétienne qui voit dans le juif la source de tous les maux. L’Europe ne veut pas accepter l’image du juif victorieux qui a réussi à créer un pays et à retrouver une dignité, ” l’ européen s’est habitué à voir l’ étoile de David comme étoile Jaune sur un brassard mais pas sur un drapeau.” L’Europe s’explique en grande partie par ses racines juives et aussi par sa haine du juif. Et c’est ainsi qu’elle continue son plaidoyer en faveur d’Israël.
- La Palestine n’a jamais été une entité politique, culturelle, identitaire. Il n’y a pas de «Palestine» avant l’instauration du mandat britannique par la Société des Nations, en 1920.
La ratification de la narration arabe de la situation, bien que cette narration soit sans fondements historiques : « un peuple qui n’existe pas lors des guerres arabes contre Israël », guerre du Kippour comprise, se trouve « reconnu et légitimé », avec toutes les conséquences en matière de « droit de ce peuple de disposer de lui même ».
Dans le pire des cas, cette narration ne voit en Israël qu’une puissance colonialiste qui doit disparaître. Ce qui explique l’intérêt d’accuser sans cesse Israël de génocide et de nazisme : sa seule «raison d’être» (la Shoah) est ainsi sapée dans son fondement. La «Nakba» est le pendant de la Shoah.
Ce discours manichéen a plusieurs implications symboliques et idéologiques :
- Il délégitime l’État d’Israël et justifie sa destruction.
- Il implique que les Juifs ne sont pas un peuple et qu’ils n’ont aucun lien avec la «Palestine».
- Il entraîne que leur constitution en nation est en soi une violence et une mystification.
- Il leur interdit la jouissance du droit à l’autodétermination qui est le privilège de tout groupe humain quel qu’il soit.

Certains pays d’Europe sont prêts à « sacrifier l’État juif » si cela leur donne l’illusion de pouvoir apaiser le monde arabe et musulman, mais aussi par ceux qui salivent en sentant le goût du sang : qu’ils soient nostalgiques d’Hitler, adeptes de Lénine, ou lecteurs fervents et fébriles du Coran. « Dans l’état actuel des choses, toute paix est impossible », et « la paix ne pourra venir que lorsque faits historiques et droits d’Israël auront été reconnus ».
L’information que les Européens reçoivent tous les jours à forte dose est intoxiquée, chargée idéologiquement dans la perversion du langage qui veut en toute occasion culpabiliser le juif. Le but aujourd’hui qui ne se voile même pas est la délégitimisation de l’état d’Israël.
L’Europe qui a enfanté les deux monstres totalitaires du communisme et du nazisme voit aujourd’hui avec une indifférence effroyable se répandre comme une tache d’huile un antisémitisme de matrice islamique sur un terreau européen très fertile qui voit dans le plus grand mal de l’autre, le juif.
L’Europe, a une attitude honteuse en exigeant des autres ce qu’elle ne demande pas d’elle même et se cantonne dans une attitude passive face à cette culture de la haine qui se développe à l’égard du juif et d’Israël. Elle reste aveugle face aux méfaits des autres et se concentre à blâmer Israël.
Pour les médias européens, les victimes israéliennes sont toujours anonymes, tandis que chez les palestiniens, chacun porte un nom au centre d’une tragédie humaine.
Chaque civilisation décline ses valeurs, sa morale, en fonction de son imaginaire. L’apologie de la fraternité universelle et de la modestie recèle ainsi un manichéisme radical qui a pour aboutissement de bannir la réciprocité, tout à fait paradoxalement car au nom d’un relativisme culturel et moral.
Cette renonciation à soi s’exprime très clairement dans le refus de toute responsabilité de « l’autre », la mise dos à dos de l’agresseur et de l’agressé, le déni du réel, l’intériorisation du motif de l’autre quand il est l’agresseur.

Dans le monde arabo-musulman il y a longtemps que les communautés juives ont disparu, alors que les communautés chrétiennes sont aujourd’hui en voie de disparition face à l’hostilité ambiante. Autre déroute de la « réciprocité »..
Dans la charte islamique des droits de l’homme, tous les droits humains sont déclarés dépendants de leur conformité à la Sharia.
La promotion de la religion au centre de l’espace public, la révérence envers l’Islam, l’exonération de cette religion des critiques qui lui sont portées pour ses liens apparents avec le terrorisme, et ses archaïsmes (crimes d’honneur, châtiments corporels, oppression des femmes).

Le discours victimaire, qui brandit « l’humiliation », « la frustration », « la dépossession », n’explique vraiment pas un mouvement historique de fond de cette ampleur que pour les « idiots utiles » de l’extrême gauche et de la gauche occidentale, les milieux économiques friands des marchés moyen-orientaux, et les maîtres en intoxication de la sphère islamique.

On est seul et personne à qui le dire, si on le dit personne ne nous écoute. Israël est solitaire comme le juif l’a été durant toute sa vie, on vous supporte difficilement mais on ne vous aime pas et on vous le fait sentir sans arrêt. Comment un esprit est-il brisé, sinon par la désespérance ? Et quelle sombre source de la désespérance que la tristesse et le découragement. Face à l’adversité ainsi envisagée, l’être humain n’a plus la consistance éphémère du fétu de paille. Sa situation aléatoire dans le monde lui paraît plus absurde que l’absurde dont il est possible de s’entretenir philosophiquement. La notion d’avenir en devient insensée. Puisque demain n’a plus de sens, pourquoi survivrait-on aujourd’hui encore ?.
Il est possible de s’interroger à n’en plus finir sur les causes de la survie du peuple juif tout au long d’une Histoire où les trous noirs ont succédés aux trous noirs. Sans doute faut-il reconnaître cette cause déconcertante dans sa formidable propension au non-découragement, dans sa conviction qu’il ne relève en rien du fameux Tribunal de l’Histoire où les vaincus d’un moment ne sont pas entendus, comme si une défaite équivalait à une condamnation et comme si avoir perdu une bataille signifiait que l’on a perdu la guerre.
Le Juif rend un fervent hommage à la vie, à la ténacité de vivre, afin de jamais en lâcher le fil, de faire fond sur ce qui en détermine la valeur et donc le prix.
L’un des problèmes majeurs d’Israël provient de ceux qui passent leur temps à s’excuser auprès des nations: s’excuser d’avoir créé un Etat, s’excuser de la naissance d’un « problème palestinien », s’excuser d’avoir une armée puissante, s’excuser d’avoir gagné toutes les guerres et principalement celle des Six Jours, s’excuser d’avoir renoué avec notre passé dérobé et pillé par ceux-là mêmes qui nous font la leçon, s’excuser de vouloir vivre en peuple libre sur notre terre, s’excuser finalement d’être encore là et bien vivants après la catastrophe nazie.
« C’est ainsi que le monde aime voir les Juifs. Résignés, à genoux et dociles ».
Du sort de quels peuples du monde vous inquiétez-vous, en dehors des "Palestiniens"?
Contre quels pays et contre quels régimes politiques protestez-vous dans vos communiqués, à part Israël, encore et toujours Israël ?
Pour vous, Israël est un agresseur terroriste, tandis que les agressions des Arabes terroristes passent pour la marque de victimes innocentes et de progressistes pacifiques. Pour vous, Israël est un pays nazi qui perpétue un génocide, tandis que les islamo-fascistes génocidaires du Hamas et leurs alliés sont de simples militants qui protestent contre les inégalités sociales en Israël. Pour vous une attaque terroriste contre les Juifs constitue une tentative d’établir la paix, alors que la légitime défense juive constitue une agression criminelle, terroriste et génocidaire.
Je vous plaint, vous et votre descendance ainsi que la nouvelle génération de l’héritage que vous allez leur laisser, comme cette citation d’Alice Parizeau. " Rien ne reflète mieux l'âme des gens que le cadre dans lequel ils vivent."
AM ISRAEL HAI

Simon

lesavoirjuif@gmail.com www.lesavoirjuif.blogspot.com

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